La marche à suivre:

Google voulait étendre son empire publicitaire au-delà du Web. Les stations de radio donneraient à Google une partie de leur inventaire d'annonces et Google opposerait les annonceurs les uns aux autres pour obtenir les spots.

Le résultat:

Des problèmes sont apparus parce que les stations étaient réticentes à céder le contrôle. Les publicités Google sont moins chères que celles vendues directement par les stations, et bien que Google ait fait valoir qu'une demande accrue finirait par faire grimper les prix, les stations de radio hésitaient à prendre le risque. Suivant, Les acheteurs de médias étaient réticents à s'engager avec Google, qui a refusé de poursuivre les pratiques conventionnelles consistant à négocier les prix à l'avance et à regrouper les publicités.

La leçon:

Le PDG Eric Schmidt a attribué son échec à l'incapacité de l'entreprise à mesurer les performances à la radio, ce qu'elle pourrait faire sur le Web en suivant les vues et les clics.. Mais le plus grand apprentissage pourrait être que le gouffre entre le cœur de métier de Google et le secteur de la radio s'est avéré trop grand. Et cela rend l'apprentissage utile difficile. Vous ne pourrez pas utiliser ce que vous découvrirez parce que vous ne comprenez pas le contexte et vous ne saurez pas comment relier ce que vous avez appris à votre base de connaissances existante.

Plus loin:
Rita Gunther McGrath/HBR avril 2011 Google a vendu ses actifs Google Radio à une société appelée WideOrbit, dans le dernier signe des efforts infructueux de Google pour étendre son empire publicitaire au-delà du Web. GoogleRadio, un service d'achat d'annonces radio en ligne que la société a fermé plus tôt cette année, était l'une des nombreuses initiatives hors ligne qui n'ont pas eu l'impact escompté par Google. Dans un plan ambitieux dirigé par l'ancien dirigeant Tim Armstrong, Google avait également tenté de se développer dans la publicité télévisée et dans les journaux; aucun de ces efforts ne s'est très bien passé. La science:venturebeat.com

Publié par:
Échecs brillants de l'équipe éditoriale citant R. Gunther McGrath/HBR avril 2011

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